Aprés l'extension périurbaine, et la création de cet "empire mou" que constitue les universelles banlieues classe-moyennes vouées aux loisirs, voiçi venues les "Gated communities".
Phénomène qu'on ne peut pas qualifier de nouveau (Il existe depuis 1854 et a commencer a se develloper sérieusement dans les années 1960 aux states), mais dont on peut contempler l'avénement aujourd'hui.
"Lost in Wistéria lane."
Plusieurs raisons a ce dévellopement de communautés fermées (résidences avec enceinte et portail, d'où "gated") dont les aspect juridiques et sécuritaire que je ne traiterai pas içi.
Si j'evoque le sujet ici, c'est parce'que j'y voit une façon de lutter contre la simulation ambiante.
Se créer, avec les éléments de la réalité, son propre monde.
La communautée donne la cohésion, la certitude d'avoir des alliés, et en même temps d'être intégrés, malgrés le mur d'enceinte dans la comédie sociale.Bouffer de l'entertainment, mais selon ces propres règles.
Mais finalement ces îlots suburbain ne sont-ils pas le pendant réels de la soif de téritoires et d'espace qui constitue le nerf du progrés vidéoludique.
On pourrait aller plus loin en précisant,
-que le premier "personnal computer" a était créer dans un garage de banlieue suburbaine.
-que c'est la population de cet "empire mou" qui consome le plus de jeux vidéo au monde.
-que l'on peut raisonnablement voir un parrallèle entre mythologie suburbaine et mythologie virtuelle ou l'on peut parfois lire la même utopie d'un térritoire idéal et cohérent.
Les fameuses MAP de jeu vidéo se devellopent ainsi a l'inverse des "gated communities" qui s'enferment sur elles-mêmes, elles cherchent l'espace et la diversité du monde, elles avancent vers l'inconnue (avec les énormes contraintes de l'entertainment, j'entend bien), tandis qu'à la ceinture des grandes cités, on s'isole pour mieux réiquilibré son monde.
Alors, on flotte quelque part par là, entre "Lost" et "Desperate Houswife".
L.S