Saturday, November 26, 2005

jeu vidéo et art contemporain?

http://www.regarde.org/blog/2005/11/24/articles/les-jeux-video-dun-point-de-vue-esthetique-1/
Voiçi un lien qui apporte des éléments (complémentaires) supplémentaires...
Nicolas.

Sunday, November 20, 2005

Interview Dan Houser.

http://www.liberation.fr/page.php?Article=334304
Voiçi un lien vers une interview de Dan Houser, vice-président de Rockstar, à l'origine des «GTA». Il aborde le lien entre cinéma et le jeu vidéo.
Voila encore un info concernant notre sujet et complément à notre base de données.
Nicolas.

L'abolition du Hasard

L'abolition du Hasard
Dans la réalité binaire le hasard a été remplacé par l'aléaoire, une conjoncture inexpliquable est devenue une conjoncture calculable.
D'ailleur n'avez-vous pas cette sensation bizarre, vous trouvant dans quelque coïncidence, d'être en fait spectateur d'une simulation dont le sens vous échappe ?

Thursday, November 17, 2005

carte postale

Ici rien n’est important, même la mort n’a aucune valeur. Demain je reviendrais et parlerai à cet enfant que j’ai écrasé par mégarde, il me posera encore la même question idiote, la même qu’à chaque fois, je ne m’en souviens plus mais ça n’a aucune importance, je vous l’ai deja dit ici rien n’est important.

Hier j’ai suivi un homme qui faisait sans cesse le tour du même immeuble, à la nuit tombée il s’est contenté de disparaitre.
yannis

Thursday, November 10, 2005

Coucher de soleil

Le voyage entamé dans les jeux vidéos doit se faire autant vers l'infiniment petit que vers l'infiniment grand.
Ce que nous recherchons est l'essence.
L'essence du tout et la substance de la surface sur laquelle on évoluent.
J'ai l'intime conviction que l'a comprendre ou la touchée pourrait nous menaient ailleur.
Mais le mélange est composé d'une veritable galaxie d'éléments difficile a réunir (et a entrevoir d'ailleurs, car tous cela touche au sensible.).
Pourtant il arrive parfois que des notes sonnent justes.
On peut-être ému par un coucher de soleil virtuel.

L.S

Monday, November 07, 2005

Voiçi un lien sur un article sur l'esthétique du jeu vidéo traduit en français dans ce blog:
http://www.regarde.org/blog/2005/10/18/articles/reflexion-esthetique-du-jeu-video/
Je fais des recherches sur le net et je commence à trouver des choses...
Nicolas.

A COTE DU JEU/ Rebut et échec.

C’est ainsi que m’ont attrait pour le jeu vidéo se concrétise. Partons de cette histoire: est si l’aventure virtuelle prenait la forme d’un trip graphique, d’une séquence (jeu) vidéo complètement défoncée?
Finalement, mes outils de création, c’est à dire les logiciels informatiques (entres autres), ne sont que des outils de l’échec. Pour reprendre une idée de Steven Poole, le jeu vidéo n’a pas d’intérêt si il est une copie du cinéma. Je me place ainsi dans son sens, mon travail n’est ni du jeu ni du cinéma. Le concept de “zone” peut peut-être prendre une définition à partir de ce constat.
Une deuxième idée est aussi envisageable. Si la “zone” est un espace préexistant dans un jeu (un bug graphique), il a comme première forme la notion de ratage. Mon travail a commencé alors à voir ces bugs avec une approche plastique de ce phénomène, puis ouvrir une réflexion à partir de ce point. Après cette rupture, ce ratage, la “zone” contient en elle un départ. Une table rase en quelque sorte. L’action reste ouverte, est c’est en cela qu’elle m’intéresse énormément car par un “outil de divertissement”, je trouve un espace hors du champ. La Zone est donc un travail qui englobe plusieurs éléments allant du texte à la recherche plastique.
Le point de vue est de placer “à côté” la zone de sa matrice comme une idée qui fuit. De cette fuite, je retiens l’échec de l’élément (le jeu vidéo initial). Dans cette logique donc, je travail la Zone comme une image d’un bug dans un jeu, en travaillant avec des logiciels dans une fonction d’économie, de faille et de défaut pour ainsi proposer un simulacre. Une boucle se forme qui prend l’aspect de l’Épopée. On part d’un point pour faire un déplacement apparemment sans but, ni début ni fin ou il semble ne s’être rien passé. L’histoire se situe alors précisément à ce point. Ma Zone est une zone de bug mais sans en être une. Je prend comme support à ces idées fuyantes et ce manque de stabilité dans mon travail, l’idée du chaos chez Deleuze: “L’art lutte effectivement avec le chaos, mais pour y faire surgir une vision qui illumine un instant, une Sensation.”(Extrait du texte du chaos au cerveau tiré de Qu’est ce que la philosophie? de Gilles Deleuze et Félix Guattari).

Nicolas.

Sunday, November 06, 2005

DARK CITY / Réponses & Questions

"Un homme s'éveille au fond d'une baignoire, désorienté, il ne sait plus où il est, ce qu'il fait nu dans cette baignoire et pourquoi il se trouve dans une chambre d'hôtel minable. Il découvre le cadavre d'une femme atrocement mutilé. Est-il le meurtrier? À la suite de ce meurtre, aurait-il tout oublié du crime immonde qu'il a commis? Et, la question la plus importante et qui le hante au point de le rendre fou : " qui suis-je "?
Le téléphone sonne et une voix lui ordonne de fuir, de quitter cet endroit maudit. Il apprend alors son nom : Murdoch. Il fuit l'hôtel et débute sa quête pour retrouver son identité.
Voilà un début qui est plus digne d'un polar que d'un film s-f. Mais ne vous laissez pas tromper par les apparences, apparences qui ne feront que vous dérouter... Vous entrez dans un autre univers à la saveur des films noirs des années 40 et 50. Une ville sombre, éternellement sombre, étouffante qui ne va pas sans rappeler celle du film The Crow. Une ville sortie droit d'un cauchemar, une ville entre le temps et les époques. Un labyrinthe de rues, de ruelles, de " buildings " et un métro qui ne mène nulle part! Une ville semblable au labyrinthe utilisé dans certaines expériences avec des rats de laboratoire. Et l'un des rats se nomme John Murdock.
Mais si la ville est un immense laboratoire, qui est l'observateur, le scientifique? Quel est le but de cette expérience sur une population humaine? Autant de questions auxquelles ce film répondra en temps et lieu!"


Voiçi le pitch de "Dark City", (un eminent précurseur a "Matrix", parfois plus juste par certain côtés) ce film est un jeu-video: il peut se traduire par l'intervention d'une entité humaine au coeur d'un logiciel, d'une matrice justement.
Tout cela est bien sûr personnifier et le mystique cotoît le scientifique (science-fiction), mais le film offre plusieurs niveaux de lecture et son déroulement offre une issue interessante, que l'on peut également retrouver dans la trilogie "Matrix", une fois que le sujet de l'expérience a compris le moyen de se servir de ses univers simulés, qu'il en a compris le système aprés avoir oppérer un retour aux source, il le modifie de façon personel dans une sorte de retour en enfance: il recréer un monde a partir des souvenir du réel.
Mais ce n'est qu'une nouvelle simulation peut-être même plus perverse et en tout cas, plus complexe car provoquée par des entités hybrides , des sortes d'humain-machines, traitant les informations, les sentiments et la spiritualitée avec des pouvoir gigantesques.

Et ce sont des humains, donc des individus en quête de bonheur, des individus façonnés par l'espérance et la question ce pose alors:
Que deviennent ces mondes simulés ? Une fois que la petite fille a créer un ciel dotée d'un magnifique dégradé photoshop, ne va t'elle pas être rejoint par l'immense frustration universelle? Ne va t-elle pas avoir besoin de s'échaper une nouvelle fois, ne vas-t-elle pas ressentir l'envie irrépréssible de se révéiller dans quelque-chose d'autre?
Je suis comme elle, je veux des suites, des dévellopements, des alternatives, je veux aller plus loin. Je suis comme tout le monde je voudrais pouvoir tomber a genou et comtempler bouche-bée, mais je suis comme tout le monde, je ne sais pas quoi.

Mais si j'appartenai à un scénario qui me donnerait la possibilité de remodeler la réalité d'un monde post-apocalyptique, je ne suis pas sûr que je reviendrai en arrière...

L.S