Monday, September 11, 2006

Fear of the dark

Ton article Ludo me fait réagir sur un point qui va dans ton sens:

Comme tu le dis, les maps des jeux recherchent l'espace et les diversités. C'est en ce point, que j'ai commencé ce travail de Lieux Imaginaires, qui sont l'aventure de l'inconnue. Ainsi, l'idée de carte (ou map pour les jeux) peut être confrontée à nos cartes, elles bien réelles, représentant l'idée de la ville et ses périphéries.
Il est intéressant de voir alors les diagrammes de Mike Davis dans son livre Au-delà de Blade Runner, représentant "l'expansion rapide d'une ville américaine".

En recherchant des choses dans son livre, je suis tombé sur un élément qu'il développe dés le début comme un nouveau facteur qui se "colle" à ses diagrammes: la peur. Je ne développe pas ce sujet içi, lire le livre plutôt me semble plus judicieux.
Seulement, cette donnée ne reste pas sans conséquence dans mon travail. Car les différents "espaces" indiqués sur les plans d'une ville, peuvent aussi se nommer ZONE. Voiçi un facteur qui m'avait échappé lors de la réalisation (et plutôt son nom) de ma vidéo représentant une ZONE dans un lent travelling. Sans être une fixation, cette donnée "situe" aussi quelque part la ZONE dans un contexte dit réel.

Pour finir, je redonne une citation d'un flic de la brigade des moeurs du LAPD en 1993, présente dans le livre de Mike Davis :
"Le zonage permet de résoudre des problèmes de criminalité que la police n'arrivait pas à résoudre".
Les mots parlent aussi plusieurs langues. La fiction est réalité.

Nicolas.

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