Friday, September 01, 2006

PARALLELE SUBURBAIN

Aprés l'extension périurbaine, et la création de cet "empire mou" que constitue les universelles banlieues classe-moyennes vouées aux loisirs, voiçi venues les "Gated communities".
Phénomène qu'on ne peut pas qualifier de nouveau (Il existe depuis 1854 et a commencer a se develloper sérieusement dans les années 1960 aux states), mais dont on peut contempler l'avénement aujourd'hui.

"Lost in Wistéria lane."

Plusieurs raisons a ce dévellopement de communautés fermées (résidences avec enceinte et portail, d'où "gated") dont les aspect juridiques et sécuritaire que je ne traiterai pas içi.
Si j'evoque le sujet ici, c'est parce'que j'y voit une façon de lutter contre la simulation ambiante.
Se créer, avec les éléments de la réalité, son propre monde.
La communautée donne la cohésion, la certitude d'avoir des alliés, et en même temps d'être intégrés, malgrés le mur d'enceinte dans la comédie sociale.Bouffer de l'entertainment, mais selon ces propres règles.

Mais finalement ces îlots suburbain ne sont-ils pas le pendant réels de la soif de téritoires et d'espace qui constitue le nerf du progrés vidéoludique.
On pourrait aller plus loin en précisant,
-que le premier "personnal computer" a était créer dans un garage de banlieue suburbaine.
-que c'est la population de cet "empire mou" qui consome le plus de jeux vidéo au monde.
-que l'on peut raisonnablement voir un parrallèle entre mythologie suburbaine et mythologie virtuelle ou l'on peut parfois lire la même utopie d'un térritoire idéal et cohérent.

Les fameuses MAP de jeu vidéo se devellopent ainsi a l'inverse des "gated communities" qui s'enferment sur elles-mêmes, elles cherchent l'espace et la diversité du monde, elles avancent vers l'inconnue (avec les énormes contraintes de l'entertainment, j'entend bien), tandis qu'à la ceinture des grandes cités, on s'isole pour mieux réiquilibré son monde.
Alors, on flotte quelque part par là, entre "Lost" et "Desperate Houswife".

L.S

4 Comments:

Anonymous Anonymous said...

d'où ta derniére vidéo...
je te donne les infos d'un livre que je viens de lire je crois que ça va t'intéresser, pile dans le sujet:
Mike Davis
AU-DELA DE BLADE RUNNER
LOS ANGELES ET L'IMAGINATION DU DÉSASTRE.
édition ALLIA.

1:05 PM  
Blogger Michel said...

Oui, je suis d'accord avec ça.

7:07 AM  
Anonymous Anonymous said...

Merci, en fait c'est précisement ce livre de Mike Davis, ainsi que le "lunar park" de Bret Easton Elis et une référence au "neverland" de peter pan qui m'on servit de repère pour le texte ( et la vidéo, a la base).

Le sujet merite d'être approfonddi je pense. Il y a la matiere a un debut de conference sur le dévellopement des espaces réels et virtuels dans la sociétée occidentale, dans laquelle la démonstration et la visite de la "zone" aurait sa place tout comme le répertoire de lieux imaginaire, ainsi que d'autre réalisations plastiques ou discours suseptible de faire tenir cet edifice debout.

Pour le coup, j'ai moi aussi un livre a conseiller, il touche pas mal des préoccupations que l'on peut avoir sur ce blog:
"Le livre de sable", un receuil de nouvelles de j.l. Borges.

Je te salue Nico et merci a michel pour son approbation.

2:00 AM  
Anonymous Anonymous said...

C'est clair que "Lunar Park" est aussi une trés bonne référence, perso je l'ai lu cette année et j'ai vraiment apprécié.
Je connais pas bien Borges donc je fonce acheter ce livre!
A bientôt peut-être sur Paris pour cette conférence des espaces réels et virtuels...(eh ehe eh).

10:40 AM  

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